Le Premier mai est la journée internationale des luttes des travailleurs/euses. Cette année, pour cause de pandémie, de nombreux rassemblements et manifestations seront interdits. Mais le monde du travail, le mouvement de la classe travailleuse, n’a pas disparu.

Ces dernières semaines ont montré de façon incontestable que sans nous, travailleur.se.s, aucune richesse n’est produite. Elles ont mis en avant la lutte pour la santé et la sécurité au travail, pour une sécurité d’existence.

Nos vies valent plus que leurs profits, oui. Alors comment mobiliser la force du mouvement syndical et au-delà, celle d’autres mouvements comme le mouvement féministe, face à un patronat qui continue à gouverner ? Comment les syndicalistes ont-iels réagi depuis le début de cette crise sanitaire, mais aussi sociale ? Quels sont les enjeux syndicaux par rapport à la politique du gouvernement Wilmès ? Quels liens avec le mouvement féministe international, dans un moment où le « prendre soin » refait surface ?

Nous en parlerons ce vendredi 1er mai à 20h30 sur la page de la Gauche anticapitaliste avec :

– David Baele, permanent FGTB-Centrale Générale en Flandre Orientale, notamment pour le secteur du textile
– Fanny P. Rops, militante féministe et membre de la Gauche anticapitaliste
– Arnaud Levèque, secrétaire fédéral de la Centrale Générale FGTB en charge des entreprises de travail adapté, du cuir, du papier et du recyclage
– Claude Lambrechts, secrétaire nationale CNE, en charge des secteurs CPAE, Logistique et de l’Action Femmes CNE

Événement Facebook : facebook.com/events/2721402594624874/

Organisé par la Formation Léon Lesoil, en collaboration avec la Gauche anticapitaliste et le soutien de la Fédération Wallonie Bruxelles.