Quand vous entendez nos ministres Wilmès, Clarinval et De Block nous raconter que les finances publiques sont en train de plonger, qu’il faut dégager des moyens pour remettre en route l’économie, vous pouvez vous dire que leur sortie de crise se traduira par de nouveaux plans d’austérité.
Il ne fait pas de doute que les classes dominantes vont nous présenter les factures de leurs crises. La Sécurité Sociale va subir de nouvelles attaques, comme celles qui ont conduit les Soins de Santé dans l’état dramatique que nous révèle la crise du Covid-19.

La France est l’un des pays les plus touchés au monde par le covid-19. Alors que les infections se multiplient les soignant.e.s manquent toujours de matériel pour se protéger et se soigner.

La pandémie de COVID-19 montre qu’une réduction des émissions de gaz à effet de serre n’est possible qu’en produisant et en transportant moins.
Mais, dans le capitalisme, moins de production signifie plus de chômage, de misère et d’inégalités. Alors, sommes-nous condamné.e.s à choisir entre la récession et le changement climatique ?

Ces derniers mois, différentes luttes (titres-services, santé, travailleuses domestiques sans papiers, accueillantes et aides familiales…) ont braqué les projecteurs sur la face cachée de l’iceberg capitaliste : le travail reproductif. De quoi s’agit-il ?